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Thomas vous a mis au défi de quitter Ritou par vos propres moyens, sinon votre voyage se terminera ici...

Étapes[]

  1. Essayer de quitter Ritou.
  2. Rendez-vous à la Commission économique pour trouver comment quitter Ritou.
  3. Parlez à Shinsuke, de la Commission économique.
  4. Quittez la Commission économique.
  5. Rencontrez la fille des Hiiragi à l'heure prévue (18 h 00 à 00 h 00).
  6. Rencontrez Hiiragi Chisato.
  7. Rendez-vous à la frontière de Ritou pour exécuter le plan de Chisato.
  8. Escortez la marchandise pour quitter Ritou.
    • Escortez le ballon jusqu'à sa destination. Temps restant : 299 s (04:59)

Notes[]

  • Le mode Multi-joueur est bloqué lors de l'étape de l'escorte des marchandises.
  • Une fois la quête terminée, elle déclenche la quête monde La lettre de Chisato.

Succès[]

En finissant cette quête, on obtient le succès Merveille du monde « Hiiragi Sanjuuro ».

Dialogues[]

  • (Nord de Ritou)
  • Kobayashi :
    Halte-là ! Vos papiers, s'il vous plaît !
  • Paimon :
    Je suis désolée, mais on doit vraiment se rendre sur l'Île de Narukami, c'est urgent...
  • Kobayashi :
    Si vous n'avez pas de laissez-passer, vous n'irez pas plus loin. Ce sont les règles.
  • Paimon :
    Euh... comme prévu.
    Tu dois trouver une solution. Comment va-t-on sortir de Ritou ?
  • Voyageur :
    > Si la Commission culturelle a entendu parler de nous...
    > Je me demande si la Commission économique a aussi entendu parler de nous...
  • Paimon :
    Est-ce que tu insinues... qu'on devrait aller voir le Commissaire économique ?
    ... Je suppose que ça ne coûte rien d'essayer. Même si j'ai deux mots à lui dire au sujet du comportement de ses subordonnés...
    Qui sait, c'est peut-être notre plus grand fan ! Héhé.

  • (Devant l'entrée de la Commission économique.)
  • Yokoyama :
    Halte ! C'est le bureau du Commissaire économique ici. Défense d'entrer !
  • Paimon :
    On est là pour voir, euh... vous savez, euh... le Commissaire économique !
  • Yokoyama :
    Le Commissaire économique ne reçoit pas les étrangers. Partez, maintenant ou on sera obligés de...
  • Hiiragi Shinsuke :
    Ah... Attendez, attendez, attendez...
  • Yokoyama :
    Oh ! Commissaire !
  • Hiiragi Shinsuke :
    Ces deux-là sont des invités de marque venus de loin, pas besoin de leur faire la sérénade habituelle.
    Entrez, et voyons ce qu'on peut faire pour vous.
  • Paimon :
    Hmpf ! Vous avez compris !?
  • Yokoyama :
    T-Toutes mes excuses.

  • (Devant la Commission économique)
  • Hiiragi Shinsuke :
    Je suis Hiiragi Shinsuke, Commissaire économique et chef du Clan Hiiragi. C'est un honneur de vous rencontrer tous les deux.
  • Voyageur :
    > Honoré de vous rencontrer.
    > Salut.
  • Paimon :
    Ravie de vous rencontrer !
    La raison pour laquelle on voulait vous voir c'était parce que...
  • Hiiragi Shinsuke :
    D'accord, d'accord, chaque chose en son temps. Deux voyageurs renommées sont venus de loin pour me voir, j'aimerais bien faire leur connaissance ! Ne limitons pas notre conversation aux affaires.
  • Paimon :
    Hé-hé, alors à ce que vous dites, on est vraiment célèbres, c'est ça ?
  • Hiiragi Shinsuke :
    Bien sûr. Combien d'autres personnes dans ce monde ont le pouvoir d'arrêter Stormterror et de renvoyer le Dieu du Vortex sous la mer, hein ?
  • Paimon :
    Exactement ! Je pense que vous avez tout à fait raison.
  • Hiiragi Shinsuke :
    Et... J'ai entendu dire que vous aviez déjoué un complot des Fatui dans le Port de Liyue, et même battu en duel l'un de leurs Exécuteurs. Est-ce que c'est vrai ?
  • Paimon :
    Waouh ! Vous avez entendu parler de ça aussi ? Oui, c'est vrai !
  • Hiiragi Shinsuke :
    Hmm... Comme je le pensais.
  • Paimon :
    Quelque chose ne va pas ?
  • Hiiragi Shinsuke :
    Héhé, non, non, non. Je suis simplement émerveillé par vous deux, c'est tout.
  • Voyageur :
    > Vous êtes trop gentil.
    > En fin de compte, ils ont réussi à s'en sortir.
  • Hiiragi Shinsuke :
    ... Ritou est très honorée de votre visite.
    Une autre chose que j'ai entendue à votre sujet est que vous consacriez beaucoup d'efforts à aider les autres. Cela me fait me demander... si vous auriez la gentillesse d'apporter votre contribution à la Commission économique ?
  • Paimon :
    Bien sûr, pas de problème ! Tout ce que vous voulez, n'est-ce pas, Voyageur ?
  • Voyageur :
    > Vous avez besoin d'un homme à tout faire ?
    > C'est mon point fort.
  • Hiiragi Shinsuke :
    Héhéhé, excellent. Eh bien...
    Vous devez connaître la fleur de Qingxin ? C'est une fleur qui pousse au sommet des montagnes de Liyue.
  • Paimon :
    Oui, on en a déjà cueilli quelques-unes par le passé. Alors, euh... vous voulez qu'on retourne à Liyue ?
  • Hiiragi Shinsuke :
    Oui. Pourriez-vous me ramener 300 fleurs de Qingxin fraîches, s'il vous plaît ? Fraîchement cueillies, je veux dire.
  • Paimon :
    ... Euh, est-ce que j'ai bien entendu ?
  • Voyageur :
    > Vous devez vous tromper sur le nombre...
    > Elles ne restent pas fraîches longtemps après avoir été cueillies.
  • Hiiragi Shinsuke :
    Hmm ? C'est trop difficile, n'est-ce pas ? Hmm... Je vois.
    Alors que dites-vous de cela : nous avons quelques lettres qui doivent être distribuées, peut-être que vous pourriez nous aider avec ça ?
  • Paimon :
    Ça paraît plus raisonnable.
  • Hiiragi Shinsuke :
    709 lettres, pour être précis.
  • Paimon :
    Hé ! Qu'est-ce qui vous arrive ? Comment se fait-il que vous n'ayez personne pour le faire !?
  • Hiiragi Shinsuke :
    Héhé, je suis terriblement désolé, nous sommes un peu à court de personnel ces derniers temps...
  • Paimon :
    C'est quoi cette explication à la noix !?
  • Voyageur :
    ...

Une jeune femme apparaît derrière Hiiragi Shinsuke lors de votre conversation avec lui. Elle et vous échangez un regard discret.

  • Paimon :
    Qu'est-ce qu'on fait ? On aide ce type ?
  • Voyageur :
    > Je vais prendre votre demande en considération.
    > Il faut que j'y réfléchisse.
  • Hiiragi Shinsuke :
    C'est la bonne attitude ! Ne me faites pas attendre trop longtemps, héhé...
  • Paimon :
    Tu envisages vraiment d'effectuer ce type de mission ? Les conditions sont trop bizarres.
  • (En reparlant à Hiiragi Shinsuke)
  • Hiiragi Shinsuke :
    .

  • (en bas des marches de la Commission économique.)
  • Shinnojou :
    Halte, vous deux.
  • Voyageur :
    > Comme je m'y attendais.
    > Je l'ai vu venir.
  • Paimon :
    Hein ? Qu'est-ce qu'on a fait ?
  • Shinnojou :
    Mademoiselle Hiiragi a une lettre pour vous. Elle insiste pour que vous la lisiez immédiatement.
  • Paimon :
    Une lettre ? Vite, faites voir !
  • Lettre légèrement parfumée :
    Considérez la lettre comme une rencontre.
    Je suis désolé de remettre cette lettre si brusquement.
    J'espère que je ne vous ai pas dérangé à ce sujet.
    Écrire une lettre pour inviter un étranger d'un autre pays est une première pour moi aussi.
    Mais je crois que vous rencontrez n'était pas un accident.
    Donc...
    Comme la lune brille encore ce soir, j'espère que vous ne verrez pas d'inconvénient à me rencontrer.

    Ne vous inquiétez pas pour les vassaux et les gardes qui font l'inventaire, j'ai ma propre façon de les éloigner.
    J'ai hâte de vous voir.
  • Paimon :
    Alors ça veut dire... qu'elle veut que tu la rencontres secrètement le soir ?
    Tu n'as pas l'air surpris... Qu'est-ce qui se passe ?
  • Voyageur :
    > On a échangé un regard.
  • Paimon :
    Hein ? Tu as manigancé des choses dans mon dos ?
  • Voyageur :
    > Shinsuke n'a pas l'intention de nous laisser partir.
  • Paimon :
    Je savais que quelque chose n'allait pas chez lui !
  • Paimon :
    Hmm... Interrogeons-la ce soir et voyons ce qu'elle a à dire.

  • (Le soir venu à la Commission économique.)
  • Hiiragi Chisato :
    Ah, vous voilà enfin... P-Permettez-moi de me présenter, je m'appelle Hiiragi Chisato.
    C'est... techniquement la deuxième fois qu'on se rencontre. C'est un plaisir de vous revoir.
  • Paimon :
    Waouh, c'est la fille du Clan Hiiragi...
  • Voyageur :
    > Tout le plaisir est pour moi.
    > Je suis ravi de vous revoir.
  • Hiiragi Chisato :
    I-inutile d'être aussi formel. Je suis depuis longtemps émerveillée par vos exploits... Nous avons enfin la chance de nous rencontrer.
  • Paimon :
    C'est moi ou il y a quelque chose de bizarre ?
  • Hiiragi Chisato :
    La raison pour laquelle je voulais vous rencontrer secrètement ici c'est que... Eh bien, je craignais de ne pas avoir d'autres opportunités de discuter de cela avec vous...
  • Paimon :
    D-Discuter de quoi ?
  • Hiiragi Chisato :
    Hum... Je voudrais demander votre aide pour... livrer une lettre.
  • Voyageur :
    > ...
    > Je crois que je vais y aller.
  • Paimon :
    Argh, tel père, telle fille ! Vous n'avez pas quelque chose de plus original ?
  • Hiiragi Chisato :
    N-Non ! Vous m'avez mal comprise, s'il vous plaît... Laissez-moi vous expliquer.
    J'espérais que vous pourriez remettre une lettre sur l'Île de Narukami à ma place. Elle doit être remise à Kujou Kamaji de la Commission administrative.
    Mon père m'a toujours interdit de communiquer avec Kijou Kamaji. Il sait qu'il y a des possibilités de mariage pour moi qui lui offrirait de meilleures perspectives politiques. Mais mon cœur appartient à Kamaji.
    Personne n'ose défier la volonté de mon père à Ritou, mais vous êtes des étrangers, qui plus est des étrangers qui cherchent à se rendre sur l'Île de Narukami. Ce serait dommage de laisser passer une telle occasion...
  • Paimon :
    Ah, je comprend maintenant...
  • Hiiragi Chisato :
    Bien entendu, par la même occasion, je ferais tout mon possible pour vous aider à quitter Ritou. Je vous en fait la promesse.
  • Voyageur :
    > Hmm, ça à l'air raisonnable.
    > Étant donné qu'on n'a pas d'autres options...
  • Hiiragi Chisato :
    Pour être tout à fait honnête avec vous... tant que vous resterez à Inazuma, mon père n'a aucune intention de vous laisser quitter Ritou.
  • Paimon :
    Oui, on avait compris. Il paraissait assez évident qu'il essayait de nous retenir ici.
  • Hiiragi Chisato :
    J'ai surpris une conversation enter mon père et une femme a l'air arrogant il y a quelques jours.
    On aurait dit qu'ils discutaient de la façon de vous garder ici sur Ritou. En fait, c'était la première fois que j'entendais mon père parler avec autant de respect à une personne qui n'était pas la Shogun.
  • Voyageur :
    > Une femme a l'air arrogant...
    > On dirait qu'on va devoir quitter Ritou au plus vite.
  • Hiiragi Chisato :
    Nous n'avons pas beaucoup de temps. Je vais vous expliquer comment quitter l'île. Il se trouve qu'un convoi de marchandises est sur le point de...

Hiiragi Chisato vous dévoile ses plans...

  • Hiiragi Chisato :
    Très bien, je vous attendrai à la frontière. Je compte sur vous pour livrer ma lettre.

  • (À la frontière nord de Ritou.)
  • Hiiragi Chisato :
    Attendez s'il vous plaît... Ces marchandises sont envoyées à... l'Île de Watatsumi ?
  • Shinnojou :
    Mademoiselle ! Quelle surprise inattendue. Vous avez raison, ce lot de marchandises a été spécialement mandaté par le Commissaire économique. Nous devons nous assurer qu'il atteigne l'Île de Watatsumi intact.
  • Kenzaburou :
    Il y a quelque chose qui ne va pas, mademoiselle Hiiragi ?
  • Hiiragi Chisato :
    Non. Mon père était simplement inquiet pour la sécurité du convoi et m'a ordonné de venir avec une escorte spéciale pour m'assurer du transport de marchandises.
  • Kenzaburou :
    Mademoiselle, vous ne suggérez tout de même pas que vous avez l'intention d'accompagner personnellement ce convoi, n'est-ce pas ? Vous n'avez certainement pas à vous soucier de ce genre de chose, et quand à cette « escorte spéciale »...
  • Voyageur :
    > J'ai hâte qu'on travaille ensemble.
    > Vous osez douter de mes capacités ?
  • Hiiragi Chisato :
    S'il vous plaît, ne nous retardez pas. Si ma mémoire est bonne, mon père a dit que ce convoi devait arriver à temps. Je suis sûre qu'il y aura des représailles si ce n'est pas le cas.
  • Kenzaburou :
    Oui, bien sûr mademoiselle. C-C'est juste que... Eh bien, on ne connaît pas cette personne...
  • Hiiragi Chisato :
    Dois-je vous rappeler quelle est la sentence s'il devait m'arriver quelque chose ? Je suis sûre que vous connaissez le caractère de mon père.
    Êtes-vous vraiment sûrs de pouvoir garantir ma sécurité à vous seuls ?
  • Paimon :
    Eh bien, Chisato sait argumenter, ils n'ont pas la moindre chance...
  • Shinnojou :
    A-Ah, oui mademoiselle. Très bien alors... C-C'est un honneur de vous avoir avec nous. Votre sécurité est notre priorité absolue.
  • Kenzaburou :
    Shinnojou ! Tu vas vraiment accepter ça !?
  • Shinnojou :
    Eh bien, la requête vient de ma demoiselle Hiiragi elle-même. C'est notre devoir de la servir de notre mieux.
  • Kenzaburou :
    Oui, mais... ce n'est pas le problème...
  • Hiiragi Chisato :
    Bon, si c'est réglé, alors je suggère qu'on parte sur le champ. Flâner ne laissera que plus de temps aux voleurs potentiels pour nous attaquer, n'est-ce pas ?
  • Kenzaburou :
    O-Oui, mademoiselle. Vous avez entendu, il n'y a pas de temps à perdre !

  • (En route, des Pilleurs de trésors apparaissent.)
  • Shinnojou :
    Mademoiselle, s'il vous plaît, restez en arrière ! On va s'en occuper...
  • Paimon :
    C'est nous qui allons le faire !
  • (Après avoir vaincu le premier groupe de Pilleurs de trésors.)
  • Kenzaburou :
    Monstres en vue ! Préparez-vous à contre-attaquer !
  • Shinnojou :
    Protégez mademoiselle Hiiragi à tout prix !
  • Paimon :
    On s'en occupe. Restez aux côtés de Chisato !
  • (un dernier groupe d'ennemi apparaît.)
  • Kenzaburou :
    Attention ! Une nouvelle attaque !
  • Shinnojou :
    Mademoiselle Hiiragi, restez près de moi.
  • (Si le convoi est détruit ou pas livrer à temps.)
  • (Si le convoi arrive à destination.)
  • Shinnojou :
    Ouf, on peut se réfugier dans le village en face. Comment allez-vous, mademoiselle ?
  • Hiiragi Chisato :
    Je vais parfaitement bien. Vous pouvez vous arrêter ici. La route vers l'Île de Narukami est juste là-bas.
    Dans ma lettre, je demande à Kamaji de vous délivrer un laissez-passer spécial au nom de la Commission administrative. Considérez cela comme un gage de ma reconnaissance.
  • Voyageur :
    > Merci Chisato.
    > S'il vous plaît, soyez prudente.
  • Shinnojou :
    Mademoiselle... ?
  • Kenzaburou :
    Hein ! Alors c'était pour ça. Je sentais bien que quelque chose n'allait pas, mais toi, Shinnojou...
  • Shinnojou :
    Non, mademoiselle Hiiragi n'avait pas de mauvaises intentions, j'en suis sûr. Mais qui est ce « Kamaji « dont vous parlez, mademoiselle ?
  • Hiiragi Chisato :
    Je n'ai pas peur de dire qu'il est... celui que j'aime.
  • Shinnojou :
    Celui... que vous aimez ?
  • Kenzaburou :
    Shinnojou... Est-ce que tu pensais vraiment que... ?
  • Shinnojou :
    Quoi !? N-Non, je euh... hum ! Je mettais juste les choses au clair, c'est tout. Je n'imaginerais jamais, même dans mes rêves les plus fous, euh... hum !
  • Hiiragi Chisato :
    Vous n'avez pas besoin de vous inquiétez, vous deux. Oubliez que tout cela est arrivé. Si mon père en entend parler, j'en serai la seule responsable.
  • Kenzaburou :
    Oui bien sûr. Comme vous voudrez, mademoiselle.
  • Paimon :
    Mais que se passera-t-il si on découvre ce que vous avez fait, Chisato ?
  • Hiiragi Chisato :
    Ne vous inquiétez pas, mon père m'a toujours gâtée. Le pire qu'il ferait serait de me laisser une demi-journée sans manger, ou quelque chose comme ça.
  • Paimon :
    Euh, je n'aurais jamais pensé qu'il pouvait être aussi sensible...
  • Hiiragi Chisato :
    Je vous souhaite un bon voyage. Je suis sûre que nous nous reverrons.
  • Paimon :
    Au revoir Chisato !
  • Kenzaburou :
    Hé, allez ! Arrête de la regarder et allons-y. On a des marchandises à livrer.
  • Shinnojou :
    *gémit* D-D'accord... *sanglote*

(Débloque la Faveur du cerisier sacré - Offrez des sceaux Électro au cerisier sacré du Sanctuaire de Narukami en échange de sa faveur.) (Débloque le Point de téléportation à la sortie de Ritou)

  • Paimon :
    Ouf, on peut enfin repartir.
    Je pense qu'il est temps d'aller trouver Thomas à présent. Où a-t-il dit qu'on devait se retrouver déjà... Ah oui, au Salon de thé Komore !

Historique[]