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Lueur du vourukasha est un set d'artéfacts de rareté 4 et 5 étoiles.

Histoire[]

Icône Étamine de l'origine de la khvarena Étamine de l'origine de la khvarena

Un insigne en forme de jolie petite fleur que portaient autrefois les pèlerins.

« Khvarena, ma fille innocente...
Je te donnerai à une autre mère. Aime-la et sers-la.
Sa sagesse équivaut la mienne et sa lumière est beaucoup plus brillante.
J'ai eu un cauchemar sans visage autrefois, qui m'a grandement effrayée...
C'est pour cette raison que je t'ai séparée de mon corps. Je te demande d'empêcher ce cauchemar de se produire. »

« Khvarena, prunelle de mes yeux...
Je l'ai prévenue de l'arrivée de la marée de ténèbres, à partir de laquelle ta destinée émerge.
Ne prends pas peur, ne t'enfuis pas, ne laisse pas ta khvarena s'affaiblir et ne déçois pas ta mère.
Mon sacrifice pour les mortels est destiné et sert de prélude pour une nouvelle vie...
Pars donc dans l'étreinte de ta mère verdoyante. Tu trouveras ta destinée dans son royaume. »

« Khvarena, ma fille au cœur pur...
Tu changeras de forme, tout comme tu affronteras la division et la mort.
Après cela, tu accéderas à l'immortalité. Cependant, le plus difficile reste à venir...
Le seigneur de l'amrita et celle des contrées vertes perdront leur forme divine avant toi...
Elles tomberont dans l'oubli et seul le souvenir de ton sacrifice persistera. »

« Khvarena, fille des fleurs...
Si la peur ne te fait pas reculer...
... Pars à la rencontre de ta nouvelle maîtresse. »

Icône Penne vibrante Penne vibrante

Une décoration exquise en forme de plume sur laquelle scintillent les teintes vives des feuilles verdoyantes et des fleurs parfumées.

En des temps immémoriaux, lors de la nuit avant la tempête de sable tragique qui balaya le paradis...
Les fleurs et les arbres parlèrent autrefois des royaumes mortels, de leurs espoirs et de leur futur lugubre.
Ceux dont il ne fallait pas s'approcher apportaient la mort grise, tandis que les vagues sombres ravageaient les berges de la vie.
Les plantes et les bêtes s'unirent aux mortels pour les repousser.

Dans les années de solitude qui suivirent sa séparation avec le seigneur des sables écarlates, la reine des contrées vertes modela une oiselle divine à partir de la khvarena.
Elle chargea l'animal de la protection des deux mondes, ainsi que de la garde de la frontière entre la renaissance et la mort.
L'oiselle divine vivait au milieu des pins, des cèdres et des lotus de neige. Elle dormait dans des rêves où le contrat était encore intact...
Et ne se réveilla que lorsque le désastre s'abattit, courant vers sa perte.
Comme annoncé dans la prophétie, les ténèbres mortelles et silencieuses envahirent la forêt...
Leur ami l'avait prévu : des monstres sinistres déferlèrent sur les jeunes forêts...

L'ancienne dirigeante du royaume de l'eau trépassa dans le conflit. Son corps se transforma en une mer de rosée pure, l'amrita.
Et pourtant, même cette mer s'assécha sur une terre abandonnée et détruite par l'Abîme.
Hélas, la maîtresse de la verdure n'eut pas le temps de faire son deuil. L'arbre mère d'innombrables graines devrait être nourri...
Pour nettoyer la souillure des ténèbres et garantir la pureté de l'amrita, Simurgh se débarrassa de sa forme divine.

« Toutes les belles choses nées de la khvarena des fleurs affronteront leur destin tôt ou tard : se flétrir et retourner à la boue.
Une fois flétries, elles renaîtront en tant qu'êtres de la mer de fleurs grâce à l'amrita, et ne seront plus jamais troublées par la mort. »

Icône Abscission ancienne Abscission ancienne

Un ancien garde-temps sur lequel brille la khvarena. Il est rempli d'un liquide pur qui semble vivant.

« Je te donne un fragment de khvarena, mon ami. Garde-le près de toi et prends-en soin.
Elle provient de la sagesse des fleurs et des veines du ciel. En son sein, réside l'essence de la vie.
La khvarena est un point dans le cœur d'une fleur, une unique goutte de lumière dans la mer d'amrita.
Chéris mon cadeau, jusqu'au jour où les ténèbres s'élèveront pour noyer toute vie... »

Les fleurs et les feuilles se transmirent la fable lointaine dont les fruits et les graines se souvenaient.
Lorsque la maîtresse des fleurs se transforma en poussière et que le maître du désert se fourvoya dans ses desseins mensongers,
que les tyrans et leurs ambitions furent enterrés sous les dunes aux sables en perpétuel déplacement...
Quand tout ce qui naquit de la terre retourna dans le sable doré et que les dons de la brise flottante furent accordés à la forêt tropicale...
La reine de la verdure assista au changement silencieux du monde et se remémora son pacte avec ses camarades déchus.

« Protège cette khvarena pour moi, mon compagnon, mon cher ami.
Après notre disparition, les mortels erreront, perdus comme des enfants sans repères.
Ils sont fragiles, mais suffisamment forts pour surmonter les vents sauvages, les flammes ardentes et leurs propres défauts.
Hélas, ce ne sont guère les catastrophes que je peux prévoir qui m'effraient, mais bien les ténèbres chaotiques...
Seuls le mal qui en émane et la menace de la mort peuvent écraser les bourgeons. »

La reine de la verdure accomplit sa part du pacte lorsque le sable doré engloutit le paradis d'antan.
Elle appela la volonté de la khvarena et lui accorda une forme d'une grande beauté, en la façonnant en une créature magnifique.
Ainsi naquit Simurgh, l'oiselle divine, dont l'apparence se distinguait de ses teintes vives d'innombrables oiseaux, et dont le chant était celui de nombreuses fleurs...
Le rêve ultime de l'oasis se rassembla, transformé en une mer de fleurs infinie, pure et radiante, cachée dans le corps de l'oiselle divine.

Icône Festin de joie sans bornes Festin de joie sans bornes

Un verre à vin opulent qui était autrefois rempli de nectar et de miellat, mais qui est aujourd'hui vide.

À la mort de la maîtresse du verger, la reine de la verdure coupa les ponts avec la mer de sable.
Elle abandonna une vie d'amour fou et de pouvoir, pour retourner dans la forêt tropicale et défendre la vie...
Ce fut ainsi que la vie réapparut dans la forêt, que les sages furent remplis de joie et qu'un nouveau foyer naquit.
Une imagination démesurée conduit au trépas inéluctable. Et cette leçon sur la mort est comme un rappel incessant pour les mortels.

La khvarena des fleurs naquit des banquets les plus délicieux et de l'allégresse la plus pure.
L'âcreté de l'ascétisme et la puanteur de l'autorité en étaient absentes.
Sa destinée fut une mort inévitable, fanée et asséchée...
Seul le seigneur de la sagesse pouvait apprendre de cela, pour la protéger et l'utiliser.

« N'oubliez pas la prophétie de ma grande maîtresse. C'est elle qui m'a confiée à vous.
La folie ne mènera pas les humains à leur perte, mais les ténèbres au-delà de ce monde sont prêtes à tout engloutir.
Je suis ce qu'il reste de l'âme de ma maîtresse, l'essence florale qui purifiera tout.
J'éclaterai en des milliers de rayons de lumière telle une grenade, si je retourne dans l'eau la plus pure. »

Ce fut ainsi que Simurgh naquit de la khvarena des fleurs.
L'oiselle divine demeura auprès de son maître un certain temps avant de s'envoler vers la mer de fleurs.

Icône Cœur de la brillance de la khvarena Cœur de la brillance de la khvarena

Des boucles d'oreilles complexes et vibrantes sur lesquelles l'éclat d'une centaine de fleurs semble couler.

« Mon cher ami, ton départ fut précipité malgré ton immense sagesse...
Dans toutes les légendes de gloire éternelle, se cache toujours le risque de l'oubli.
Tout comme la vie et la mort vont de pair, l'oubli est l'amant du souvenir.
La vie n'aurait aucune importance sans la menace de la mort.
Aucune histoire ne vaudrait la peine d'être racontée, si les vagues de l'oubli ne se dressaient pas contre elles... »

La reine de la verdure accomplit la mission dont son amie l'avait chargée.
Elle accorda la khvarena des fleurs à la forme de l'oiselle divine et lui demanda d'assurer la défense d'une partie de la forêt tropicale.
La fleur devait se faner un jour, tout comme Simurgh devait se sacrifier.
La cultivatrice de la verdure le savait depuis la nuit où elle sommeilla avec le seigneur des fleurs...

« L'oiselle divine verdoyante s'épanouit en d'innombrables fleurs de khvarena, qui s'envolèrent comme des colombes...
La khvarena tomba sur les vestiges du seigneur de l'amrita et une mer de fleurs brillantes apparut.
De nombreux esprits habitent la mer de fleurs et portent en eux la volonté de l'herbe, des arbres et de la rosée, la nettoyant ainsi de toutes les impuretés.
De nombreux esprits habitent la mer de fleurs et chantent les trois mères de la verdure, de la douce rosée et des fleurs fraîches. »

Une nuit viendra où la fille devra se défaire des bras de ses trois mères.
Et se sacrifier pour défendre le monde des impuretés grandissantes...

Historique[]

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