Journée de repos pour la Grande Maîtresse (Quête)

Journée de repos pour la Grande Maîtresse est la 5e et dernière quête de la série Leo Minor, la quête histoire de Jean.

Après avoir résolu les différents problèmes des habitants, vous décidez de vous rendre à nouveau à la cathédrale vous enquérir de la santé de Jean...

Objectifs[]

Parlez à Paimon.
Rendez-vous au grand arbre symbole de Vennessa.
Poursuivez l'ennemi de l'Ordre de l'Abîme.
Quittez les ruines.
Retournez à Mondstadt et parlez à Jean.
Entrer dans la taverne.
Discutez avec Paimon après la fête.
Retrouvez Jean sur le balcon du 1er étage.

Dialogues[]

(Après avoir accompli les trois quêtes précédentes)

Paimon : Je crois qu'on a terminé ce que Jean devait faire. C'est fatigant d'être elle...

Paimon : D'ailleurs, je me demande comment elle va ? Et si on allait la voir ?

À la cathédrale[]

Demandez des nouvelles de Jean à Barbara.

(Parlant à Barbara)

Paimon : On est revenus, Barbara !

Barbara : Bon retour, vous devez être fatigués.

Voyageur :

> Jean va mieux ?

> Vous devez être aussi épuisée, Barbara.

Barbara : Ne vous en faites pas pour moi. C'est mon travail de veiller sur mes patients.

Barbara : Jean a repris conscience, mais elle n'est pas tout à fait reposée.

Paimon : C'est une bonne nouvelle ! Rendons-lui visite.

Barbara : Malheureusement, elle vient de quitter la cathédrale. Je lui ai conseillé de se rendormir, mais elle n'a rien voulu entendre...

Barbara : Comme d'habitude, elle m'a dit que tout allait bien et qu'elle avait besoin d'air. Je parie qu'elle est allée voir Dame Vennessa...

Paimon : Où ça ?

Barbara : Vous voyez le grand arbre à Ventlevé ? C'est un endroit qui honore Vennessa, l'héroïne de Mondstadt.

Barbara : Jean s'y rend toujours dans ses moments de doute...

Paimon : Vous la connaissez plutôt bien, dites donc...

Barbara : ... Pas vraiment. Elle me l'a dit avant de partir d'ici.

Voyageur :

> Jean a encore besoin de se reposer, non ?

> Est-ce qu'on peut la laisser se balader dans cet état ?

Barbara : Elle m'inquiète aussi, mais j'ai plein de travail à faire...

Paimon : Pas de problème. On va veiller sur elle pour vous !

Barbara : Merci beaucoup ! Que Barbatos veille sur vous et Jean...

À Ventlevé[]

Son épée reposant sur ses deux mains, Jean prie Vennessa sous l'arbre. En vous entendant arriver, elle se retourne...

(Parlant à Jean)

Paimon : Bonjour Jean ! Vous allez mieux ?

Jean : Tiens, je ne m'attendais pas à vous voir ici. Je suis en pleine forme, mais merci de vous être fait du souci pour moi.

Paimon : Vous êtes sûre que ça va ? De loin, on aurez dit que vous peiniez à tenir debout.

Paimon : J'espère que vous n'en faites pas trop.

Voyageur :

> Vous pouvez toujours compter sur le soutien de tous les autres chevaliers.

> Vous pouvez toujours compter sur notre soutien.

Jean : Merci, votre intention me va droit au cœur.

Jean : Cependant, je dois trouver un moyen de gérer ces petits soucis, sinon je n'arriverais jamais à veiller sur Mondstadt comme Vennessa le faisait.

Paimon : Vous l'admirez beaucoup.

Jean : Oui. Vennessa était la première Grande Maîtresse de l'Ordre de Favonius. Et je compte bien marcher dans ses pas.

Jean : En tant que Chevalier du Croc de Lion, elle a renversé les aristocrates qui opprimaient le peuple de son époque. Après la fondation de l'Ordre de Favonius, elle est devenue le Chevalier au Pissenlit ; elle a alors pris soin de la cité.

Paimon : Vous êtes aussi le Chevalier au Pissenlit, non ?

Jean : Les grands maîtres de l'Ordre de Favonius ont hérité à travers les âges des titres de "Chevalier du Croc de Lion" et "Chevalier ua Pissenlit".

Paimon : Je vois...

Paimon : Si je comprend bien, vous voudriez être aussi douce que le Chevalier au Pissenlit, et aussi féroce que le Chevalier du Croc du Lion ?

Jean : Oui, c'est un honneur que d'hériter de ces deux titres de la célèbre Vennessa...

Jean : Mais aussi une grande responsabilité.

Jean : Il faut pouvoir se montrer à la hauteur de la tâche.

Voyageur :

> "Chevalier du Croc du Lion" vous va plutôt bien.

> Mais je préfère quand même "Chevalier au Pissenlit".

Paimon : Tu as raison !

Jean : ...

Paimon : Jean ?

Jean : Qui est là ?

Mage de l'Abîme : Je me suis fait repérer on dirait...

Mage de l'Abîme : L'occasion de se débarrasser une bonne fois pour toute de la Grande Maîtresse se présente... et vous ruinez tout.

Paimon : !comment ont-ils pu découvrir...

Paimon : Attendre cet instant pour passer à l'attaque...

Jean : Tant que je serais le Chevalier au Pissenlit, il en faudra plus que ça pour me vaincre.

Mage de l'Abîme : Puisque mon plan tombe à l'eau, mieux vaut mettre les voiles j'imagine...

Jean : Stop *tousse* !

Jean : Il ne doit pas... s'échapper *tousse*.

Paimon : Jean, vous n'êtes pas en état de vous battre...

Voyageur :

> Retournez à Mondstadt, et remettez-vous, je vous en prie...

> Ça pourrait être un piège.

Jean : Non, je dois le poursuivre...

Paimon : *soupir* Pourquoi vous faire autant de mal, Jean ? Vous ne nous faites pas confiance ?

Jean : Bien sûr que je vous fait confiance, mais je ne dois pas faillir à mon devoir de...

Paimon : Si vous insistez, laissez-nous ua moins vous accompagner !

Jean : Merci à tous les deux. J'accepte votre aide avec gratitude.

Exploration des ruines[]

(Quittant les ruines)

Jean : Mon état est moins grave que je ne le pensais ; Barbara a été un vrai ange-gardien.

Paimon : Le plus important, c'est que vous soyez saine et sauve ! Maintenant, vous rentrez vous reposez à Mondstadt, d'accord ?

Jean : Oui. Je devrais aussi remercier Barbara pour ses soins. J'espère qu'elle n'est plus remontée contre moi.

Retour à Mondstadt[]

(À l'entrée de Mondstadt)

Swann : Jean, vous êtes enfin rentrée ! Que Barbatos vous bénisse.

Jean : Swann ? Tu m'attendais ? Quelque chose est arrivé ?

Swann : Oui, au Cadeau de l'Ange... Ce n'est pas très grave, mais...

Voyageur :

> Des clients se sont battus ?

> On s'en occupe ! Jean doit se reposer.

Swann : Enfin, si, si on veut, c'est assez grave ! Hum, comment dire... La présence de la Grande Maîtresse est requise.

Paimon : Hein ?

Jean : Puisqu'il en est ainsi, j'y vais. Mes frères chevaliers on besoin de moi.

Jean : Rassurez-vous ; ça va beaucoup mieux maintenant que j'ai pu récupérer un peu.

Swann : Merci infiniment ! Vous me sauvez...

Paimon : Pour l'amour de Barbatos ! Même Swann donne du boulot en plus à Jean !

Jean : Swann avait l'air désemparé ; ça devait être urgent. Allons voir de quoi il retourne.

Fête surprise[]

(Avant la fête)

Jean : Ah, mais c'est...

Amber : C'est une fête de remerciement spécialement pour vous !

Jean : Une fête de remerciement ?

Barbara : Tout le monde s'est fait un sang d'encre pour toi, Jean !

Amber : C'est vraiment dur d'être à la tête d'une organisation comme la nôtre. Vous travaillez tellement !

Kaeya : On a donc profité de ce jour de repos pour organiser une petite fête en ton honneur ! Alors, amuse-toi bien !

Kaeya : Puis, c'est pas comme si on en aurait l'occasion en temps normal. Hahaha !

Jean : Hum...

Amber : Jean ?

Jean : Vous...

Amber : Oh, elle est gênée ? C'est la première fois que je la vois comme ça...

Lisa : En dehors du travail, Jean est une jeune femme normale après tout...

Jean : Je... Je ne sais vraiment pas quoi dire.

Jean : ... Merci du fond du cœur.

Amber : Ce n'est rien comparé à tout ce que vous faites pour nous !

Jean : J'ai encore tant de chose à faire...

Foule : *soupir*

Kaeya : Ne t'en fait pas, détends-toi pour l'instant.

Kaeya : Pendant ton absence, nous avons fini tout ce que tu devais faire. Il n'en reste rien !

Jean : C'est vrai ? Et le problème des livraisons ?

Amber : J'ai réglé le compte de ces quelques Brutocollinus qui faisaient les malins ! La routine quoi.

Jean : Et le formulaire des impôts ?

Lisa : Je passe ma vie à faire la paperasse pour la bibliothèque, ce n'est pas un petit papier en plus qui va me gêner.

Jean : Et le chat de Margaret ?

Paimon : Vous vous rappelez même de ça ?!

Venti : Prince a été apprivoisé par le Voyageur ! J'ai pu aussi récupérer mes chères cordes en fer astral en passant.

Lisa : Tout est bon ? Plus besoin de penser au travail aujourd'hui ! C'est l'heure de s'amuser !

Jean : Être entourée de vous tous est un honneur... Béni soit l'Archon Anémo.

Jean : D'ailleurs j'y pense... Comment avez-vous réussi à organiser tout ça ? Comment avez-vous trouvé le temps... ?

Kaeya : Haha, c'est grâce au Voyageur !

Voyageur :

> Qui ?

> C'est moi, l'organisateur?

Kaeya : La nourriture et les boissons sont arrivées à temps grâce au Voyageur.

Kaeya : En plus, c'est lui qui a cuisiné tous ces bons plats !

Kaeya : Arrête de faire l'étonné !

Voyageur :

> Ceci explique cela...

> Toutes ces commandes, c'était donc vous !

Kaeya : Exact ! On doit aussi remercier Diluc. Sans lui, on n'aurait jamais trouvé de lieu pour tenir cette fête...

Diluc : J'étais quand même réticent à l'idée d'accueillir un événement organisé par l'Ordre de Favonius...

Diluc : Mais en tant que citoyen de Mondstadt, je ne peu qu'être reconnaissant pour le travail accompli par Jean.

Jean : Diluc...

Barbara : Allons ! Jean est censée se détendre, arrêtez de l'étouffer.

Amber : Que la fête commence !

(Pendant la fête)

Paimon : Tout le monde à l'air de bien s'amuser....

Paimon : Allez ! Profitons de cette fête pour nous amuser avec les autres ~

Paimon : Je crois que j'ai vu Jean monter à l'étage toute seule... Il ne faut pas qu'on laisse notre invité d'honneur comme ça !

(Vous allez à la rencontre de Kaeya...)

Kaeya : Salut ! Vous passez un bon moment ?

Voyageur : Pourquoi avez-vous dit que j'étais l'organisateur de la fête ?

Kaeya : Parce que Jean nous connait trop bien.

Kaeya : Quand on organise une fête pour une personne proche, celle-ci a tendance à être beaucoup plus gênée.

Kaeya : C'est pour cette raison qu'on a décidé de faire de toi l'organisateur.

Voyageur : Ce n'est pas plutôt vous qui êtes gênée ?

Paimon : Oui ! L'idée venait de vous, non ?

Kaeya : Hahaha ! Vous trouvez ? D'accord...

Paimon : Vous l'admettez ?!

Kaeya : Juste parce qu'aujourd'hui est un jour spécial.

(Vous allez à la rencontre de Venti...)

Venti : Diable ! Les vins du Domaine de l'Aurore sont à la hauteur de leur réputation !

Venti : Une occasion comme celle-ci ne se représentera jamais, alors je vais profiter pour boire autant que je le peux aujourd'hui. Un autre verre pour moi, s'il vous plaît !

Paimon : Venti a bu une quantité effrayante de vin...

Venti : Oh, salut ! Je ne vous avais pas vus.

Venti : C'est la faute du vin ! Le temps n'a pas altéré sa saveur, tout comme mes poèmes !

Venti : Ouh, je me sens flotter dans les airs... Est-ce la manifestation de nouveaux pouvoirs Anémo ?

Paimon : Je crois qu'il commence à être ivre...

Venti : Héhé, chaque enfant de Mondstadt devrait avoir droit à un verre de ce vin ! Santé !

(Vous allez à la rencontre de Diluc...)

Diluc : Trente-sept.

Paimon : Qu'est-ce que vous faites, maître Diluc ?

Diluc : Je compte les verres que ce barde a bu...

Diluc : Il ne le sait probablement pas, mais les boissons sont gratuites seulement pour les chevaliers de l'Ordre ce soir.

Diluc : Je lui ramènerai l'addition quand il sera sobre.

Paimon : Vous êtes vraiment sournois !

Diluc : ... Je plaisantais. De toute façon, il n'a pas les moyens de payer.

Diluc : La quantité de vin qu'il a bue est très loin d'être normale...

(Vous allez à la rencontre d'Amber...)

Amber : Voyageur...

Paimon : Amber ! Ça va ? On dirait que tu vas pleurer !

Amber : Ce poulet mariné aux fleurs sucrantes ! Et ce délice de viande et carottes au miel !

Amber : C'est toi qui les as préparés ?

Voyageur : Hé oui.

Amber : Je refuse de le croire ! Depuis quand tu cuisines aussi bien ?!

Amber : Je finis de manger ça, et tu vas m'apprendre comment faire ! N'essaye même pas de t'enfuir !

Amber : *om nom nom*

Paimon : Amber n'a rien bu pourtant...

(Vous allez à la rencontre de Lisa...)

Lisa : "... Et laissant derrière eux l'agitation du banquet, les deux se tinrent là, comme seuls au monde dans le silence du crépuscule, alors qu'autour d'eux le monde semblait s'effacer dans la nuit magique..."

Lisa : On dirait un passage de roman à l'eau de rose...

Lisa : Euh, je n'ai pas demandé d'histoires ou de poèmes...

Lisa : Je crois que j'ai vu Jean monter au balcon à l'étage toute seule... Ne laisse pas passer ta chance, héhé...

(Vous allez à la rencontre de Barbara...)

Barbara : Pfiou... On était censés se détendre, et bien c'est raté.

Paimon : Vous voulez boire quelque chose, Barbara ?

Barbara : Ah ! Vous avez des boissons non alcoolisées ?

Paimon : Qu'est-ce que vous buvez d'habitude ?

Barbara : Je fais beaucoup de mélanges, mais j'ajoute toujours un quelque chose de rouge...

Paimon : De la tomate ? De la pastèque ?

Barbara : Des piments, ceux qui piquent beaucoup !

Paimon : Des piments dans une boisson ?!

(Sur le balcon avec Jean)

Jean : Ah, c'est vous.

Voyageur :

> Voilà où vous vous trouviez.

> Vous passez un bon moment ?

Jean : Oui, merci. Je prends juste un peu l'air.

Paimon : On dirait que Jean a quelque chose sur le cœur...

Jean : Merci encore, Voyageur.

Voyageur :

> Je n'ai vraiment rien vu venir...

Jean : Dans tous les cas, je suis contente de pouvoir être ici avec tout le monde. Ça remonte le moral.

> Ça a l'air d'aller mieux, non ?

Jean : Oui... Ça fait du bien d'être entourée de tout le monde.

Jean : J'ai aussi appris quelque chose aujourd'hui.

Paimon : Qu'est-ce que c'est ?

Jean : J'ai davantage l'étoffe d'un Chevalier au Pissenlit que celle d'un Chevalier du Croc du Lion.

Jean : Le titre de Chevalier du Croc du Lion fait référence au passé de Vennessa - un passé de combat pour Mondstadt.

Jean : C'est en fondant l'Ordre de Favonius qu'elle est devenue Chevalier au Pissenlit...

Paimon : Vennessa serait fière de vous, Jean !

Jean : Où qu'elle soit, Dame Vennessa veille toujours sur nous.

Voyageur : Que le vent nous guide.

Jean : En effet, que le vent de la liberté nous guide. Il nous portera vers l'avenir et j'espère que tu feras partie de cette aventure, Voyageur.

Historique[]

Ajout dans la version 1.0

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