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Vous arrivez à Ritou, dans la nation d'Inazuma, sans problème et retrouvez votre contact, Thomas. Mais il semble que les étrangers soient loin d'être les bienvenus ici...

Étapes[]

  1. Suivez Thomas pour vous enregistrer au poste de contrôle de la frontière.
  2. Suivez Thomas pour vous enregistrer au Bureau des affaires étrangères.
  3. Rendez-vous à l'Association du commerce international pour interroger ses membres.
  4. Trouvez le marchand qui vend de la moelle cristalline.
  5. Demandez de l'aide à Thomas pour obtenir des renseignements.
  6. Négociez de nouveau avec Werner.
  7. Trouvez la trace de Keijirou.
  8. Suivez Keijirou sans vous faire repérer.
  9. Trouvez des preuves des méfaits de Keijirou.
  10. Racontez ce qui s'est réellement passé à l'Association du commerce international.
  11. Parlez à Thomas.

Notes[]

  • La quête demande une spécialité de Mondstadt et de Liyue.
  • Durant la filature de Keijirou, le mode multi est bloqué jusqu'à ce que la traque soit réussi. Le joueur passe en mode Furtif.
    • Se faire remarquer lorsque Keijirou parle, interrompra le dialogue et l'empêchera de voir la suite de ce dernier.
    • Si le Voyageur se fait remarquer, Keijirou l'obligera à se montrer et il faudra recommencer la quête à l'étape précédente.
    • Même chose si Keijirou est perdu de vue. Paimon fera un commentaire et il faudra recommencer la quête depuis l'étape précédente.

Dialogues[]

Bureau des affaires étrangères[]

  • Kageyama :
    Bonjour, veuillez décliner votre nom, identité et le but de votre visite. Oh, sauf vous, Thomas.
    Vous devez être... nouveaux ici.
  • Paimon :
    Euh...
  • Kageyama :
    Excusez-moi ? Veuillez fournir les informations demandées, et déclarer tout bien que vous transportez sur vous.
  • Voyageur :
    > On est ici pour... faire du commerce de vin, et de minerai.
  • Kageyama :
    Oh ? Actuellement, seuls les membres de l'Association du commerce international sont accrédités à l'importation et l'exportation de marchandises. Avez-vous votre permis commercial ?
  • Voyageur :
    > On est ici pour trouver ma sœur.
  • Kageyama :
    Oh ? Je suis désolée, mais nous ne pouvons pas approuver votre entrée pour des raisons purement personnelles. Donc, à moins que vous ayez une raison valable conformément aux règles...
  • Paimon :
    Hum... euh... o-on... euh...
  • Kageyama :
    Toutes mes excuses, mais je vais devoir vous demander de...
  • Thomas :
    Voici leurs papiers, vous pouvez vérifier.
  • Paimon :
    Quoi !? Argh, vous prenez votre temps, vous ! On ne peut pas dire que vous vous soyez précipité !
  • Thomas :
    Haha, je voulais juste savoir ce que vous diriez... Je suis désolé.
  • Kageyama :
    ... Je vois, d'accord. Vos papiers sont en règle. Bienvenue à Ritou.
  • Paimon :
    Pfiou...
    Alors, on va où, maintenant ?
  • Thomas :
    Au Bureau des affaires étrangères.
    Ils ne vérifient que le permis d'entrée ici. Si vous voulez rester à Ritou, il y a une procédure à suivre au Bureau des affaires étrangère.
  • Paimon :
    Pfiou, eh bien, c'est super strict ici, comme tout le monde le disait.
  • Thomas :
    Eh bien, n'oublions pas que pour la plupart des gens à Inazuma, ceux qui viennent de l'extérieur sont des « étrangers ».
    Et comme ce nom l'indique, ce ne sont pas les bienvenus à Inazuma, compte-tenu du décret de confinement en vigueur.
    Même à Ritou, où il y a pourtant une colonie d'étrangers.
  • Voyageur :
    > Dans tous les cas, on n'a pas le choix.
    > Je dois poursuivre mon voyage.
  • Thomas :
    Héhé, j'aime votre façon de penser. J'ai l'impression qu'on va bien s'entendre.
    À présent. Allons au Bureau des affaires étrangères.
  • (Sur la route...)
  • Thomas :
    La plupart des règles actuelles ont été mises en place par l'administration de Ritou, la Commission économique.
  • Paimon :
    La Commission économique ?
  • Thomas :
    Oui, elle fait partie des Trois Commissions d'Inazuma. Elle est responsable de la croissance et de la gestion de la richesse de la nation. Euh... Vous n'en avez vraiment jamais entendu parler ?


  • (Au bureau des affaires étrangères)
  • Yurika :
    Vous avez terminé la procédure d'entrée, c'est ça ? et à présent, vous voulez faire une demande de résidence ? Tous les deux, n'est-ce pas ?
  • Paimon :
    Oui, s'il vous plaît !
  • Yurika :
    D'accord. Ce sera deux millions de moras pour les frais de procédure.
  • Paimon :
    Deux millions ! Pour des frais de procédure ? Vous êtes sérieuse !?
  • Yurika :
    Tout à fait, un million par personne, ce qui fait deux millions au total. Soyez sans crainte, je n'ai pas fait d'erreur dans le calcul.
  • Paimon :
    Ce n'était pas vraiment le calcul le problème... Argh...
  • Thomas :
    Hahaha... M'dame, ces deux-là sont de bons amis à moi. Je pense que je suis un visage familier.
  • Yurika :
    Ah, M. Thomas, c'est vous. À titre de courtoisie, permettez-moi de réduire les frais à 400 000 moras au total.
  • Voyageur :
    > C'est toujours très cher...
    > C'est une sacré remise !
  • Thomas :
    Merci infiniment à vous, mademoiselle Yurika.
    Mais puisqu'il ne s'agit que de frais de procédure... Je pense que 600 moras devraient faire l'affaire si je paye pour eux ? Et une invitation à dîner avec moi en prime. Que dite-vous de cela ?
  • Paimon :
    Ce n'est pas comme ça qu'on négocie ! Faites baisser le prix tant que vous voulez, mais...
  • Yurika :
    Très bien, alors. Comme vous voudrez, M. Thomas. Je procède à l'inscription.
  • Thomas :
    Héhé, tout le plaisir est pour moi.

Après quelques négociations avec Thomas, Yurika finit par vous aider avec les procédures de séjour. Vous pouvez désormais quitter le Bureau des affaires étrangère l'esprit tranquille.

  • (En sortant du Bureau des affaires étrangères.)
  • Paimon :
    Quoi !? Elle est passé de deux millions à 600 moras ? Les gens d'ici ont vraiment un problème avec le sens des finances !
  • Voyageur :
    > Je crois que c'est plus qu'un problème d'argent.
    > Ça me rappelle quelqu'un...
  • Thomas :
    Héhé, ce n'est pas aussi compliqué que vous le pensez. « Frais de procédure », c'est juste une figure de style.
    Pour certains du Bureau des affaires étrangères, les frais de procédures sont de l'argent facile, alors ils cherchent à gagner le plus possible.
    Du coup, le jour où un pauvre marchand venu d'ailleurs avec plus d'argent que de raison se retrouve coincé ici et à besoin de faire une demande de résidence...
  • Paimon :
    Ils vont lui prendre tout ce qu'il a !
  • Thomas :
    Exactement. C'est dans les moments comme ceux-là qu'il est utile de connaître quelqu'un du coin.
  • Voyageur :
    > C'est de l'oppression flagrante contre les étrangers...
    > Personne ne se révolte ?
  • Thomas :
    Eh bien, quand on est un étranger à Inazuma, loin de chez soi, dans cette nation fermée, on ne peut pas faire grand-chose.
    Le mieux pour les marchands étrangers est de rester unis.
    C'est ainsi qu'est née l'Association du commerce international.
  • Paimon :
    C'est donc une association commerciale qui a été créée par et pour les étrangers ?
  • Thomas :
    Oui, et en plus de défendre leurs intérêts commerciaux, l'association fournit aide, soutien, et structure aux étrangers qui essaient de survivre à Ritou.
    En essence, il s'agit d'une association dévouée à la fois à l'excellence commerciale et à la survie.
  • Voyageur :
    > Alors comment un étranger a-t-il une chance de rencontrer...
    > La Shogun Raiden ne m'a jamais parues aussi éloignée...
  • Paimon :
    *soupir* Rien que de rester en vie a déjà l'air d'être un exploit quand on est un étranger à Inazuma...
  • Thomas :
    Je vois... alors c'est là le véritable but de votre voyage. Oui, étant donné que vous êtes des étrangers, c'est un objectif des plus difficiles à atteindre.
    Après tout, la Shogun Raiden est la personne la plus exaltée et la plus vénérée de tout Inazuma. C'est une divinité qui règne depuis son trône, pendant que toute les autres vies la contemplent avec admiration.
  • Voyageur :
    > Dans tous les cas...
    > Il faut que je trouve un moyen !
  • Thomas :
    ...
    J'allais dire que rien n'est gravé dans la pierre pour ce qui est des rencontres qui vous attendent dans ce monde. Qui peut dire si vous ne tomberez pas sur la Shogun un après-midi après avoir déjeuné...
  • Paimon :
    Hein-hein... Et vous pensez que ça a une chance d'arriver... ?
  • Thomas :
    Eh bien, je vais être direct avec vous. Je connais un moyen de vous introduire auprès de la Shogun Raiden.
  • Paimon :
    Vraiment !? Waouh, le négociateur de Ritou a plus de relations qu'on ne le pensait !
  • Thomas :
    Hum, héhé... Je veux dire, ça nécessitera toutes les ressources à ma disposition, mais c'est possible. Cependant, avant d'en arriver là...
    Les influences sont coûteuses, vous comprenez ?
  • Paimon :
    Argh, vous n'allez pas nous faire le coup, vous aussi !
  • Thomas :
    Hahaha ! Non, non... Dans le cas qui nous intéresse, quand je dis que c'est coûteux, je ne parle pas de moras.
    En fait, il n'y a aucun coût réel, en tant que tel. C'est juste que... si c'est quelque chose que je voulez vraiment, vous devrez accepter d'aider d'autres gens à résoudre certains de leurs problèmes d'abord.
    J'aime faire les choses de manière à ce que tout le monde soit content. C'est la règle personnelle que j'applique dans les situations comme celle-là.
  • Paimon :
    Ça m'a l'air tout à fait raisonnable ! Vous êtes l'intermédiaire, donc vous devez faire des échanges de faveurs pour que tout le monde vous soit redevable.
  • Voyageur :
    > Les voies du négociateur sont impénétrables...
    > Alors, qu'est-ce qu'on doit faire ?
  • Thomas :
    Pourquoi ai-je l'impression que vous essayez de me faire passer pour une sorte d'escroc... Bon, peu importe.
    Voilà la situation. Comme je l'ai mentionné plus tôt, les membres de l'Association pour le commerce international ont du mal à survivre.
    Récemment, les choses semblent être devenues plus difficile que jamais pour eux. Alors allez simplement voir s'il y a un moyen pour vous de les aider.
    Le chef de l'Association s'appelle Kurisu, c'est un bon ami à moi. Allez lui parler, je vous attends ici.
  • (En reparlant à Thomas.)
  • Thomas :
    .

Problèmes de l'Association du commerce international[]

  • (Devant l'Association du commerce international)
  • Kurisu :
    Oh ? Bonjour à vous, vous cherchez refuge auprès de l'Association du commerce international ? Le Bureau des affaires étrangères vous a pris tout ce que vous aviez, je suppose.
  • Voyageur :
    > Ce n'était pas loin...
    > Heureusement qu'on avait un ami avec nous.
  • Kurisu :
    Ah, bien, c'est un soulagement. *soupir*... Vous devez être prudents, ou vous vous retrouverez à perdre toutes vos économies d'un coup.
  • Paimon :
    On a entendu dure que l'Association rencontrait des difficultés dernièrement. Est-ce que c'est vrai ?
  • Kurisu :
    Oui... Des ennuis par-ci, par-là... On rencontre des obstacles un peu partout. Mais ce n'est pas nouveau pour nous.
  • Paimon :
    Le décret de confinement rend certainement les choses compliquées pour toute personne qui veut se rendre ici depuis l'étranger.
  • Kurisu :
    Ce n'est pas la source de nos problèmes. Le décret de confinement peut restreindre notre champ d'activité, mais ne soi, il ne nous empêche pas de profiter d'une existence confortable.
    Non, ce qui nous cause vraiment du tort, à nous autres marchands étrangers...
    ... Ce sont des profiteurs de la Commission économique.
  • Paimon :
    Oh, c'est l'une des Trois Commissions qui supervise tout ce qui se passe à Ritou, pas vrai ?
  • Kurisu :
    C'est exact. Ils imposent des taux d'imposition astronomiques, des régulations aberrantes, et ce n'est pas le pire...
    Ils viennent de publier un nouveau décret fiscal qui, pour une raison quelconque, change complètement la façon dont on paye nos impôts. Avant c'était en moras, mais à présent c'est en « moelle cristalline ».
  • Paimon :
    De la « moelle cristalline »... ? C'est quoi ça ?
  • Kurisu :
    Une chose dont la plupart d'entre nous à l'Association n'avaient jamais entendu parler jusqu'à la sortie du nouveau décret.
    Finalement, l'un des plus anciens marchands de Liyue s'est rappelé qu'il en avait déjà expédié un à Snezhnaya dans sa jeunesse.
    Donc, pour pouvoir payer nos impôts, on s'est lancés dans une recherche incessante de cette moelle cristalline.
    Mais ensuite, on s'est rendu compte qu'on n'avait juste réussi à créer un autre problème encore plus grand. La demande croissante en moelle cristalline a fait monter les prix de plus en plus...
    À présent, il n'y a plus qu'un seul fournisseur qui en a en stock. On ne peut s'en procurer nulle part ailleurs...
  • Paimon :
    Euh... C'est pas ce qu'on appelle un monopole ?
  • Kurisu :
    Exactement. Donc, ce vendeur continue de faire grimper les prix, et on n'a pas d'autre choix que d'acheter chez lui puisque le décret fiscal nous y oblige...
    C'est un cercle vicieux dont la conséquence est que nos impôts dépasseront bientôt nos bénéfices... et quand ça arrivera...
  • Voyageur :
    > C'est absurde.
    > Ne pouvez-vous pas discuter de la situation avec la Commission économique ?
  • Kurisu :
    On a essayé de communiquer directement avec la Commission...
    Mais on est dans une nation où les cris de quelques marchands en difficulté ne seront jamais entendus sous le grondement assourdissant du tonnerre...
    *soupir* Fontaine, ma chère patrie... Tu me manques tellement...
  • Paimon :
    Ça a l'air grave, ils sont en train de les mettre à sec.
    Voyageur, qu'est-ce que tu penses qu'on devrait faire ?
  • Voyageur :
    > Faire de notre mieux pour négocier avec la Commission économique ?
  • Paimon :
    Mais Kurisu est à la tête de l'Association et même lui n'a pas réussi à leur parler. En plus, on est des étrangers...
  • Kurisu :
    C'est exact, de plus... Je pense que le sort qui nous attend n'est ni plus ni moins que celui qu'ils avaient prévu pour nous.
  • Paimon :
    Bon, on peut essayer de résoudre le problème en s'adressant à l'autre partie...
  • Voyageur :
    > Ce fournisseur a l'air suspect.
  • Kurisu :
    Ce fournisseur...
    J'ai fait affaire avec lui par le passé, mais après un certain temps, il a cessé de nous contacter. Je n'ai aucune idée d'où il s'approvisionne...
  • Paimon :
    Hmm... Eh bien, on dirait qu'il n'est vraiment pas fiable. Comment peut-on le trouver ? On pourrait essayer d'aller lui parler et vois si on arrive à en tirer quelque chose.
  • Kurisu :
    C'est une excellente idée ! Vu que vous ne faites pas partie de l'Association et que vous êtes nouveau à Ritou, il ne se méfiera probablement pas.
    Si je me souviens bien, notre point de rencontre habituel était sous un arbre au bord de la côte dans la partie résidentielle. Voyez si vous pouvez le trouver là-bas.
  • Paimon :
    Compris ! On est sur le coup !
  • (En reparlant à Kurisu.)
  • Kurisu :
    .

  • (Sur la plage, au quai des pêcheurs.)
  • Werner :
    Hum ? je ne pense pas qu'on se connaisse, vous êtes des nouveaux-venus ?
  • Voyageur :
    > Oui, on vient d'arriver.
    > Vous ne me reconnaissez pas ? C'est moi qui négocie ici.
  • Werner :
    Haha très drôle. On ne se prétend pas négociateur comme ça, il faut gagner ce titre. Je ne suis pas né de la dernière pluie, vous savez.
  • Werner :
    Alors. De quoi avez-vous besoin ?
  • Voyageur :
    Où vous procurez-vous vos marchandises ?
  • Werner :
    Quelle audace ! Ce n'est pas le genre de questions qu'on pose, ça ! Si je vous donne mes sources, je peux mettre la clé sous la porte !
    Secret commercial, ça vous dit quelque chose ? Vous savez ce que signifient « secret » et « commerce », pas vrai ? Tss.
  • Paimon :
    Ce type est vraiment désagréable...
  • Voyageur :
    Est-ce que vous pouvez... réduire vos prix ?
  • Werner :
    Ha ! Vous voulez acheter !?... Ohh, je vois ce qui se passe ici. Kurisu et ses acolytes vous ont envoyés ici pour essayer de plaider leur cause, c'est ça ?
    Eh bien, ils perdent leur temps. Le prix est non négociable, pas même d'un mora.
  • Paimon :
    Hé, c'est quoi votre problème !?
  • Werner :
    Déguerpissez d'ici, allez ! Dites-leur qu'ils ont déjà de la chance de pouvoir acheter chez moi, qu'ils soient plus reconnaissants à l'avenir. Sans moi, ils auraient déjà de sérieux ennuis.
  • Paimon :
    Qu'est-ce qu'on va faire ? Il n'y a pas moyen d'en discuter avec ce type...
  • Voyageur :
    > Il est temps d'aller trouver le vrai négociateur...
    > Allons parler à Thomas.
  • Paimon :
    Bonne idée. Retournons le voir.

  • (Retour auprès de Thomas.)
  • Thomas :
    Hm ? Ça a été rapide... Vous avez déjà résolu l'affaire ?
  • Paimon :
    Euh, en fait, on a un peu de mal...
  • Voyageur :
    Vous allez devoir nous aider à vous aider.
  • Thomas :
    Oh ? Eh bien, dites-moi ce dont vous avez besoin. Je vous aiderai du mieux que je peux.
    Résoudre les problèmes du coin alors que vous venez juste d'arriver n'est pas une mince affaire.
  • Voyageur :
    Que savez-vous de Werner ?
  • Thomas :
    Oh, ce type ? Je le connais.
    Il faisait peine à voir avant, il vendait des coquillages qu'il ramassait sur la plage pour gagner sa vie. Mais on dirait qu'il s'en est sorti récemment.
    Je suppose qu'il a trouvé un mécène après avoir quitté l'Association du commerce international.
  • Paimon :
    Hein ? Vous dites qu'il faisait partie de l'Association du commerce international ? Alors c'est un étranger, lui aussi ?
  • Thomas :
    Oui... Vous n'avez pas remarqué quand lui avez parlé ?
  • Voyageur :
    > On aurait dit un Mondstadtois selon moi.
    > C'est vrai qu'il n'avait pas l'air local.
  • Thomas :
    C'est exact. Werner est né à Mondstadt, puis il s'est lancé dans le transport maritime, en faisant du commerce entre Liyue et Inazuma.
    Quand Inazuma s'est coupée du monde extérieur, il faisait partie d'un groupe d'étrangers qui s'est retrouvé bloqué sur Ritou.
  • Paimon :
    Ah, la poisse...
  • Thomas :
    L'Association du commerce international a d'abord été très généreuse envers lui, mais au fil du temps, décret après décret, les membres de l'Association ont eu de plus en plus de mal à joindre les deux bouts...
  • Paimon :
    C'est là qu'il a quitté l'Association et leur a tourné le dos !
  • Thomas :
    Haha, je suis sûr que c'est un peu plus nuancé que ça. Je pense que même les personnes les plus ingrates et les plus froides ont toujours une part de gratitude et de chaleur qui reste au fond d'elles.
  • Voyageur :
    > J'ai compris.
    > Je vais retourner lui parler.
  • Paimon :
    Vraiment ? C'est tout ce que tu avais besoin de savoir ?
  • Thomas :
    Eh bien, on dirait que vous avez trouvé comment négocier avec lui.
  • (En parlant à nouveau à Thomas.)
  • Thomas :
    .

  • (Nouvelle négociation auprès de Werner.)
  • Werner :
    Qu'est-ce que vous faites encore ici ? Ce n'est pas parce que j'ai du temps libre que j'ai envie de le perdre à discuter avec vous.
  • Voyageur :
    > Du temps libre... Certains trouvent que c'est une forme de liberté.
    > C'est le vent qui m'a ramené jusqu'à vous.
  • Werner :
    Hein ? D'où ça vient tout ça...
  • Voyageur :
    > Je boirais bien un bon vin de dent-de-lion un jour comme celui-ci...
    > La sérénade d'un barde serait parfaite pour accompagner le moment...
  • Werner :
    ... Mondstadt... Vous parlez de... Mondstadt ?
  • (Après avoir donné laspécialité de Mondstadt.)
  • Werner :
    Par les Sept, ça me revient à présent. Tout cela m'est si familier, mais je ne me rappelle plus de la dernière fois où j'y étais...
    L'odeur de Mondstadt... Oh, je me souviens...
  • Voyageur :
    > Que Barbatos vous protège.
    > Que le vent vous guide.
  • Werner :
    *soupir* Ma ville natale... La cité de la liberté... ! Comme j'ai envie d'y retourner...
  • Paimon :
    Ooh, ça marche...
  • Werner :
    Ah... Oh, hum ! Alors, on essaye de jouer sur la corde sensible, c'est ça ? Je sais ce que vous êtes en train de faire.
  • Voyageur :
    Fermez les yeux...
  • Werner :
    Hein ? Qu'est-ce que c'est que ça, qu'est-ce que vous faites ?
  • Paimon :
    Fermez juste les yeux !
  • Voyageur :
    Écoutez attentivement... Est-ce que ça ne vous semble pas familier... ?
  • Werner :
    Vous voulez dire... le bruit de l'océan ?
  • Voyageur :
    > Chop suey Zhongyuan aussi bon qu'abordable !
    > Du Poisson chihu grillé tout chaud !
  • Werner :
    Oh ! Le Port de Liyue ! Je peux le voir à présent ! Oh, et le bruit des vagues, les appels des marchands...
  • Voyageur :
    > Que la lumière et la vertu...
    > ... soient toujours avec vous.
  • Werner :
    Les lanternes célestes ! Haha, c'est comme si j'étais au Festival des lanternes ! Oh... Regardez-les, flotter dans le ciel !
  • Paimon :
    Hein, ce type a vraiment une imagination débordante... soit ça, soit le Port de Liyue lui manque terriblement...
  • Werner :
    *soupir* Liyue, Liyue...
  • (Après lui avoir donné une spécialité de Liyue.)
  • Werner :
    Attendez... Arrêtez, ça suffit... Ne me faites plus revivre ça, mon cœur ne le supportera pas...
  • Voyageur :
    > Il y a beaucoup de gens qui sont dans la même situation que vous.
    > Il y a beaucoup de gens qui vous ont soutenu par le passé.
  • Werner :
    Vous voulez dire... ceux de l'Association du commerce international... Oui, ils sont loin de chez eux, tout comme moi.
    Souvent, je me faufile jusqu'au rivage la nuit et j'écoute le bruit des vagues... J'aime me dire que c'est la voix de ma patrie, portée par l'océan.
    J'ai rencontré des gens de l'Association à de nombreuses reprises en train de faire la même chose, mais je cache toujours mon visage et je m'éclipse...
    *soupir* Vous ne pensez pas que j'ai envie de discuter avec eux, et de me libérer de cette angoisse ?
  • Paimon :
    Euh... eh bien, personne ne vous en empêche, vous savez...
  • Werner :
    Ils sont si persévérants. Aucun n'avait quelqu'un sur qui compter, alors ils se sont rassemblés, déterminés à trouver un moyen de survivre... Mais je n'y arrivais pas, je ne suis pas assez fort...
    Alors... j'ai cédé... Ces gens, ils vous font la plus petite des promesses, ils vous offrent les avantages les plus minables, et vous devez faire tout ce qu'ils vous demandent... et faire passer les habitants de Mondstadt pour les pires au monde...
  • Voyageur :
    Qui sont « ces gens » ?
  • Werner :
    ... D'accord, je vais vous raconter toute l'histoire. Ça me ronge de l'intérieur, je ne peux plus le supporter.
  • Paimon :
    Vous êtes prêt à parler maintenant ?
  • Voyageur :
    > L'Association du commerce international vous protègera.
    > Venez prendre un verre avec vos amis de l'Association.
  • Werner :
    Mais je les ai trahis... Je ne peux pas retourner là-bas...
  • Paimon :
    Argh, allons, ne faites pas votre timide ! Écoutez, vous avez fait une bêtise, mais il est toujours temps de vous rattraper !
    Alors, dites-nous. Qu'est-ce qu'il se passe ?
  • Werner :
    C'est un coup des ashigarus qui collectent les taxes. Keijirou et ses sbires.
    Ils commencent par surtaxer les marchands, puis prennent la moelle cristalline qu'ils reçoivent et la stockent.
    Une fois que les marchands n'ont plus d'endroits où acheter de la moelle cristalline, ils me demandent de revendre le stock à un prix exorbitant, pour le compte de la brigade de collecte des taxes.
  • Paimon :
    Mais c'est... c'est le mal à l'état pur, d'arnaquer les gens comme ça.
  • Werner :
    Je suis leur pantin, c'est vrai... mais ma part est une infime partie de ce qu'ils récupèrent au final. J'ai à peine de quoi vivre.
  • Voyageur :
    On a besoin de preuves.
  • Werner :
    De preuves ? Hmm... Vous avez raison, sans preuve, il n'admettra jamais.
    Maintenant que j'y pense, chaque fois que je viens lui rapporter une vente, il se rend toujours au même endroit. Ça m'a toujours paru louche...
    Il se trouve que je lui ai remis de l'argent il n'y a pas longtemps. Je peux vous montrer où il est allé si vous voulez ?
  • Paimon :
    Vraiment ? Alors il n'y a pas de temps à perdre ! Allons-y.

Filature de Keijirou[]

  • (En arrivant à destination, sur la place.)
  • Werner :
    Keijirou ! C'est lui !
  • Paimon :
    Suivons-le !
  • (Si trop près.)
  • Paimon :
    Trop près, c'est trop près ! Il va nous remarquer à coup sûr !
  • Keijirou :
    Sortez de là. Je vous vois.
    Vous êtes qui et pourquoi vous me suivez ?
  • Paimon :
    Oh-oh, on dirait qu'il nous a repérés...
  • ((Retour à la case départ.))
  • (Si trop loin.)
  • Paimon :
    Il s'éloigne de plus en plus. Rattrapons-le un peu.
    Hein ? Où est-ce qu'il est passé ? Il était juste là il y a un instant... On dirait qu'il a disparu en un clin d'œil.
    Je savais qu'on aurait dû être plus discrets...
  • ((Retour à la case départ.))

  • (Devant le stand de Ryouko.)
  • Keijirou :
    Ah, Ryouko. Comment vont les affaires ?
  • Ryouko :
    Pour le mieux, grâce à vous.
  • Keijirou :
    Bien ! J'ai de la chance d'avoir de bonnes rentrées d'argent dernièrement...
  • Ryouko :
    Mais c'est tout naturel, la collecte des taxes est un travail difficile.
  • (Keijirou s'éloigne du stand.)
  • Keijirou :
    Alors, qui d'autre est en retard sur les paiements ?
    Réfléchissons... Ah oui, la clique de l'Association du commerce a encore besoin d'un rappel à l'ordre.
  • (Il se met à courir vous obligeant à le pourchasser.)
  • Keijirou :
    Hum ? C'était quoi ce bruit...
  • Paimon :
    Chut... Silence ! Il ne faut pas qu'il nous voit !
  • Keijirou :
    J'ai dû entendre des voix. Mince, je suis en retard. Je dois me dépêcher...
  • (Keijirou part en courant)

  • (Keijirou inspecte le sol avant de repartir.)
  • Werner :
    Qu'est-ce qu'il pouvait bien faire ici...
  • Paimon :
    On dirait qu'il a enterré quelque chose par là-bas, non ? Si on allait jeter un œil ?
  • (Une fois arrivé là où était Keijirou.)
  • Paimon :
    Waouh, c'est... un registre ?
    Mince... Je pensais qu'il aurait caché une grosse pile de moras.
  • Voyageur :
    > J'oubliais la véritable motivation de Paimon.
    > Si on avait trouvé des moras, on les aurait donnés à l'Association du commerce.
  • Paimon :
    ... Hé-hé ?
  • Werner :
    Laissez-moi regarder...
    Aha, oui. Voilà ce qu'on cherchait. Une liste exhaustive de toutes les transactions, chacune prouvant sa culpabilité.
  • Paimon :
    Génial ! Eh bien, maintenant qu'on a des preuves, allons annoncer la bonne nouvelle à Kurisu, d'accord ?
  • Werner :
    Ah, euh... Je-Je vous dis au revoir ici alors.
  • Paimon :
    Hein ? Vous ne venez pas avec nous ?
  • Werner :
    Je... J'ai besoin d'un peu plus de temps avant d'être prêt à faire face au chef de l'Association. Je suis désolé.
  • Paimon :
    *soupir* Le pauvre Werner. Il s'en veux vraiment, hein...

Confrontation avec Keijirou[]

  • (Devant l'Association du commerce international.)
  • Kurisu :
    Mais on n'a vraiment plus rien. Si ça continue, nos ventes seront à perte. Il ne nous restera plus qu'à mourir de faim...
  • Keijirou :
    Vous connaissez le décret. Les règles sont les règles. Pas de remises, pas d'exceptions et pas d'excuses !
  • Voyageur :
    C'est vous qui bafouez les règles ici, Keijirou !
  • Keijirou :
    Hmm ? Et vous êtes qui, vous ? Encore un nouveau membre de l'Association ?
  • Paimon :
    On a trouvé votre registre de compte. On est ici pour tout dire sur la façon dont vous avez détourné la moelle cristalline pour la revendre à ceux qui paient les taxes !
  • Kurisu :
    Hein ? C'est vrai !?
  • Harrison :
    Vous nous avez escroqués !
  • Keijirou :
    Eh bien, euh... Vous voyez... Les t-taxes, euh...
  • Kurisu :
    Laissez-moi jeter un œil au registre.

Kurisu lit toutes les transactions du registre à voix haute.

  • Kurisu :
    Regardez ça... Tous les paiements que l'Association a versés se trouvent ici, dans votre registre personnel.
    Alors, monsieur Keijirou, il semble que vous ayez des explications à nous faire. Comment allons-nous régler cela, hmm ?
  • Keijirou :
    Hmph ! Vous pensez que vous pouvez utiliser ça contre moi, c'est ça ? Je-J'essaie simplement de gagner modestement ma vie, comme tout le monde...!
  • Kurisu :
    Il paraît que les samouraïs accordent une grande importance à la réputation et au prestige... Je suis sûr que les membres de la Commission ne vous blâmeront pas quand ils entendront parler de cette affaire...
  • Keijirou :
    Hein ? C'est une menace ? Vous me menacez !?
  • Kurisu :
    Non pas du tout. Je dis simplement qu'il serait bien dommage qu'un homme de votre rang voit sa réputation ternie.
  • Keijirou :
    Euh... Eh-Eh bien, même si ce que vous dites est vrai, que proposez-vous que nous fassions à ce sujet...?
  • Kurisu :
    J'imagine que vous avez toujours des quantités de moelle cristalline en votre possession, n'est-ce pas ?
    La moelle cristalline pourrait servir de compensation pour la récente hausse des taxes, ce qui nous permettrait, à nous autres marchands, d'avoir enfin un peu de répit.
  • Paimon :
    C'est tout ?
  • Keijirou :
    Hmph, est-ce que vous avez la moindre idée de ce que j'ai dû faire pour mettre la main sur cette moelle cristalline, et la garder cachée !? Argh, bien ! Dans ce cas, je vous l'apporterai aujourd'hui.
  • Paimon :
    Et pas même une once de honte...
  • Harrison :
    Alors, c'est tout ?! Ma boutique est fermée depuis des semaines maintenant, j'ai même dû demander à des amis de m'aider pour me tirer d'affaire ! Et mes pertes !?
  • Kurisu :
    Allons, Harrison ! On s'en sort déjà pas trop mal...
  • Harrison :
    J'en ai marre d'être traité comme ça ! Je n'ai pas l'intention de le laisser s'en tirer aussi facilement !
  • Kurisu :
    Harrison !
  • Katsuie :
    Hé ! C'est quoi tout ce vacarme ? Quelqu'un ose-t-il remettre en cause le décret ?
  • Keijirou :
    Ah, chef. Vous êtes là.
  • Katsuie :
    C'était quoi toute cette agitation que je viens d'entendre ?
  • Keijirou :
    Oh, on discutait simplement d'un petit problème de taxe. Je fais de mon mieux pour leur faciliter la tâche, mais ils ne sont jamais contents.
  • Harrison :
    Faciliter la tâche !? La seule chose que vous faites c'est de vous remplir les poches avec nos économies. Je peux vous assurer que Hiiragi Shinsuke va en entendre parler !
  • Katsuie :
    Oh ? Et vous osez prononcer le nom du Commissaire ? Vous autres étrangers n'avez aucun respect pour les règles.
    Emmène ces marchands ! On va régler tout ça au quartier-général !
  • Paimon :
    Oh-oh, ça s'annonce mal...
  • Thomas :
    Messieurs. Allons, a-t-on vraiment besoin de tout ça ? S'il y a un problème à résoudre, allons en discuter autour d'un verre.
  • Keijirou :
    Qui êtes-vous ? Et pourquoi donc j'irais boire un verre avec vous ?
  • Paimon :
    Ha ! Vous n'avez jamais entendu parler du négociateur !?
  • Voyageur :
    > Le contexte, Paimon, le contexte...
    > Ce titre ne veut rien dire pour eux.
  • Thomas :
    Voici ma carte...
  • Katsuie :
    Hein... Vous faites partie de la Commission culturelle ?
  • Thomas :
    Hé ! Hé ! Hé ! Chut...
  • Katsuie :
    Hmpf, eh bien, ici c'est le territoire de la Commission économique. Quelle que soit la puissance de la Commission culturelle, vous n'avez pas à vous mêler des affaires de Ritou.
  • Thomas :
    Bien sûr que non. Bien sûr que non. Mais peut-être que vous pourriez faire preuve de courtoisie à l'égard de la demoiselle de notre clan...

  • Thomas :
    Vous ne voudriez pas que vos noms apparaissent dans une pétition adressée à la Shogun, n'est-ce pas ?
  • Katsuie :
    Cet éventail... C'est la Shirasagi Himegimi ?
    ... Je ne veux pas d'ennuis avec elle. Bon, oublions tout ça. Cela nous fera un souci de moins à régler.
  • Keijirou :
    Mais chef...
  • Katsuie :
    Assez ! On s'en va.
  • Thomas :
    On devrait aller dîner ensemble un de ces quatre, messieurs. C'est moi qui régale. Vraiment, j'insiste.
    *rires* Pas de réponse, hein... Je suppose qu'on ne se reverra pas alors.
  • Kurisu :
    Merci beaucoup, M. Thomas... Je suis désolé que votre relation avec la Commission économique ait dû en pâtir...
  • Thomas :
    Haha. Hé, je ne faisais que plaisanter. Ce n'est rien. S'il y a quelqu'un à remercier ici, c'est le voyageur. C'est lui qui a trouvé comment faire pour retourner la situation.
    À présent, je suis sûr que les ashigarus qui collectent les taxes feront plus attention à l'avenir.
  • Paimon :
    Thomas... Qu'est-ce qui vient de se passer...
  • Thomas :
    Chut... Pas ici, il y a trop de gens qui écoutent, haha. Allons ailleurs.
  • (En parlant de nouveau à Kurisu.)
  • Kurisu :
    .
  • (En parlant de nouveau à Harrison.)
  • Harrison :
    .

  • (Un peu plus loin sur la place.)
  • Thomas :
    On dirait bien que la corruption est monnaie courante chez la Commission économique. Ils sont vraiment pourris jusqu'à la moelle... *soupir*
    Bien. Il est temps pour moi de répondre à vos questions. Que voulez-vous savoir ?
  • Voyageur :
    > Parlez-moi de la Commission culturelle.
    > Parlez-moi de la Shirasagi Himegimi.
  • Thomas :
    Haha, vous allez droit au but. Eh bien, dans ce cas, permettez-moi de me présenter à nouveau.
    J'appartiens au Clan Kamisato de la Commission culturelle sur l'Île de Narukami. Je suis au service de la Shirasagi Himegimi.
  • Paimon :
    Argh, vous avez gardé votre véritable identité secrète pendant tout ce temps !
    Donc la Commission culturelle... Je suppose que c'est une des Trois Commissions ?
  • Thomas :
    Correct. Le Clan Kamisato est à la tête de la Commission culturelle, qui gère les affaires relatives aux cérémonies et à la culture. J'irais plus en détail sur ce que ça couvre si je le pouvais, mais je ne suis pas sûr moi-même.
    Je suis juste quelqu'un qui a eu la chance d'être pris sous la tutelle du Clan Kamisato. Mon rôle est de prendre soin de la fille du clan, Kamisato Ayaka, également connue sous le nom de Shirasagi Himegimi.
  • Paimon :
    On dirait qu'elle doit être super connue à Inazuma, étant donné la réaction de ce gars à l'instant.
  • Thomas :
    Hahaha... Oh, sans aucun doute. Elle est aussi gracieuse, digne et bienveillante. Les habitants d'Inazuma adorent mademoiselle Kamisato.
    Sa renommée éclipse même quelque peu celle de son frère aîné, Kamisato Ayato, malgré le fait qu'il soit l'actuel chef du clan.
    Ceux qui traitent les autres avec compassion méritent le même traitement en retour. La situation de mademoiselle Kamisato en témoigne sans le moindre doute. Prenez moi, par exemple, je e suis qu'un serviteur, et pourtant elle me traite d'égal ) égal, comme elle le ferait pour un ami.
  • Voyageur :
    > Alors d'où vous vient ce surnom de « négociateur de Ritou » ?
    > Si vous êtes à son service... alors c'est vous ou elle qu'on aide ?
  • Thomas :
    Vous posez les bonnes questions. Et pour être honnête, je ne veux pas vous garder dans l'ignorance plus longtemps que nécessaire.
    Tout d'abord, vous devez savoir qu'on ne peut pas prétendre être un négociateur. J'ai dû travailler pendant pratiquement un mois à établir inlassablement des relations sur l'île, c'est là que j'ai fait la connaissance de la capitaine Beidou.
  • Paimon :
    Pas mal pour un mois de travail seulement !
  • Thomas :
    Haha, eh bien, peut-être que j'ai un certain talent pour parler aux gens. Mais le principal était que je devais être prêt pour vous recevoir à votre arrivée.
    Inazuma s'est peut-être fermée au monde extérieur, mais cela n'a pas empêché beaucoup de gens d'entendre parler de vos exploits à Mondstadt et à Liyue.
    Alors, quand mademoiselle Kamisato a entendu dire que vous aviez l'intention de venir à Inazuma, elle a commencé à attendre votre arrivée avec une grande impatience. Elle voulais découvrir si les rumeurs étaient vraies...
    ... si vous aviez le pouvoir de changer le cours du temps.
  • Paimon :
    Changer le cours du temps ?
  • Thomas :
    Durant le test que je vous ai fait passer tout à l'heure, même s'il y a eu quelques ratés à la fin, c'est vous qui avez trouvé le moyen de renverser la situation.
    Être capable de traiter avec des gens puissants, utiliser leurs faiblesses à votre avantage... c'est exactement ce que mademoiselle Kamisato voulait voir.
    Avec votre aide... même le décret de saisie...
  • Voyageur :
    > Je n'ai jamais proposé mon aide.
    > Je refuse.
  • Thomas :
    ... Ah.
    Hmm, c'est assez inattendu. Peut-être que nos sources étaient trompeuses...
  • Voyageur :
    J'ai un seul objectif : rencontrer la Shogun Raiden.
  • Thomas :
    ... Oui bien sûr. Je comprends tout à fait, et comme convenu, je vais vous aider à y parvenir.
  • Paimon :
    Hein, Thomas n'a pas beaucoup résisté...
  • Thomas :
    Hah... Eh bien, mon travail est terminé. Je suppose qu'il est temps pour moi de vous dire au revoir pour le moment.
    Oh, encore une chose : cette lettre d'invitation est pour vous... Lorsque vous arriverez sur l'Île de Narukami, vous pourrez me trouver au Salon de thé Komore, comme indiqué dans la lettre.
    Bonne chance pour tout et à bientôt.
  • (Thomas s'en va laissant le Voyageur et Paimon seul.)
  • Paimon :
    Thomas n'est pas un si mauvais gars, hein. On devrait y aller.
  • Voyageur :
    > Mais...
    > Il y a un problème...
  • Paimon :
    Hein ? C'est quoi le problème ?
  • Voyageur :
    Les étrangers ne peuvent pas quitter Ritou.
  • Paimon :
    Ah, c'est vrai ! J'avais oublié !
    Attends, alors... Est-ce que Thomas avait oublié aussi ?
  • Voyageur :
    > Je ne pense pas...
    > Ça doit faire partie de son « test ».
  • Paimon :
    Mince ! Grr, pas étonnant alors qu'il n'ait rien dit tout à l'heure !
    Dès qu'on quitte Ritou, je vais au Salon de thé Komore lui montrer de quel bois je me chauffe !
    Argh, bon, j'imagine qu'on va devoir tenter notre chance. Dirigeons-nous vers la frontière et on verra jusqu'où on pourra aller.

Historique[]

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